Press Release | 8th February 2021

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Our nation is beginning to witness the first glimpses of change after over 30 years without a voice.

Progress is being made, but we are left disappointed that there was no plan, nor a timeline to resolve our most immediate challenges. Challenges that will require unity between our leaders and citizens, the strength of our own institutions and the rule of law to put an end to the corruption and violence that my people have endured.

The only logical plan that we have between us is the one that we suggested on the 30th September. Our people have waited long enough for their voices to be heard, and I am proud to be a part of this awakening.

After the latest attempts to damage Somalia’s vision for the future by threatening to cut off the internet during the election process, there is no doubt that current President Mohamed Abdullahi Farmaajo must step down and abandon this power struggle to ensure stability during this critical period. The first duty of the President is to respect the constitution they swore to uphold, and the Somali people deserve better.

Under my leadership, our communities will finally be able to enjoy hope for their futures, peace in their homes and security to protect them from our enemies.

En Francais

Notre nation commence à voir les premiers signes de changement après plus de 30 ans sans voix.

En dépit des progrès réalisés, force est de constater qu’il n’existe aucun plan, ni calendrier pour résoudre nos problèmes les plus immédiats. Des défis qui nécessiteront l'unité entre nos dirigeants et nos citoyens, la force de nos propres institutions et l'État de droit pour mettre fin à la corruption et à la violence que mon peuple a endurées.

Le seul plan logique que nous ayons entre nous est celui que nous avons proposé le 30 septembre. Notre peuple a attendu suffisamment longtemps pour que sa voix soit entendue, et je suis fier de participer à ce réveil.

Après les dernières tentatives visant à nuire à la vision de l’avenir de la Somalie en menaçant de couper Internet pendant le processus électoral, il ne fait aucun doute que le président actuel Mohamed Abdullahi Farmaajo doit démissionner et abandonner cette lutte pour le pouvoir pour assurer la stabilité pendant cette période critique. Le premier devoir du Président est de respecter la constitution qu'il s'est juré de faire respecter, et le peuple somalien mérite mieux.

Sous ma direction, nos communautés pourront enfin avoir de l'espoir pour leur avenir, la paix dans leurs foyers et la sécurité pour les protéger de nos ennemis.

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